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Où l'on voit la Bretagne accablée de tous les maux sous les coups des Pictes et des Saxons. Où les justes périssent de la main des traîtres et où s'étend partout la tyrannie. Où même les oppresseurs s'entredéchirent.

Comme un long cri de peur charrié par des vents mauvais, la nouvelle s'était répandue à travers l'île de Bretagne. Paysans et nobles découvraient dans une même terreur que, dans les terres du Nord, les pirates saxons avaient repris leurs attaques, avec le cortège habituel de fermes incendiées, de paysans massacrés. Un désespoir mêlé de fatalisme gagnait les habitants de l'île de Bretagne ; même jadis, quand ils étaient mieux armés et mieux entraînés, ils n'avaient jamais su opposer un front commun à leurs ennemis. Seules les légions romaines, en ces temps lointains que les bardes célébraient dans les veillées arrosées de bière et d'hydromel, avaient réussi à repousser les attaques conjuguées des Pictes d'Écosse, des Scots d'Irlande et des pirates de Germanie. Mais Rome se survivait à peine, toute gloire anéantie dans les ruines de ses palais. Malgré les appels pressants des Bretons, les soldats vêtus de cuir et de bronze n'étaient pas revenus défendre l'île.

Seuls subsistaient deux remparts entre la population de Bretagne et la servitude ou l'anéantissement promis par les envahisseurs. Une muraille de pierre d'abord, loin vers le Nord, ouvrage immense bâti d'une mer à l'autre. Le Mur. Il avait longtemps maintenu les assauts des Pictes. Mais, ses portes enfoncées, ses fortins abattus, les créneaux du chemin de ronde jetés à bas, la frontière de pierre cédait peu à peu devant des hordes de petits hommes à la peau mate, dont quelques-uns arboraient encore des motifs ancestraux peints sur leur peau en bleu indigo. Tenter de relever les fortifications, c'était peine perdue, les Pictes en viendraient à bout tout aussi bien.


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Où l'on voit la Bretagne accablée de tous les maux sous les coups des Pictes et des Saxons. Où les justes périssent de la main des traîtres et où s'étend partout la tyrannie. Où même les oppresseurs s'entredéchirent.

<pfrp>Comme un long cri de peur charrié par des vents mauvais, la nouvelle s'était répandue à travers l'île de Bretagne.</pfrp> Paysans et nobles découvraient dans une même terreur que, dans les terres du Nord, les pirates saxons avaient repris leurs attaques, avec le cortège habituel de fermes incendiées, de paysans massacrés. Un désespoir mêlé de fatalisme gagnait les habitants de l'île de Bretagne ; même jadis, quand ils étaient mieux armés et mieux entraînés, ils n'avaient jamais su opposer un front commun à leurs ennemis. Seules les légions romaines, en ces temps lointains que les bardes célébraient dans les veillées arrosées de bière et d'hydromel, avaient réussi à repousser les attaques conjuguées des Pictes d'Écosse, des Scots d'Irlande et des pirates de Germanie. Mais Rome se survivait à peine, toute gloire anéantie dans les ruines de ses palais. Malgré les appels pressants des Bretons, les soldats vêtus de cuir et de bronze n'étaient pas revenus défendre l'île.

Seuls subsistaient deux remparts entre la population de Bretagne et la servitude ou l'anéantissement promis par les envahisseurs. Une muraille de pierre d'abord, loin vers le Nord, ouvrage immense bâti d'une mer à l'autre. Le Mur. Il avait longtemps maintenu les assauts des Pictes. Mais, ses portes enfoncées, ses fortins abattus, les créneaux du chemin de ronde jetés à bas, la frontière de pierre cédait peu à peu devant des hordes de petits hommes à la peau mate, dont quelques-uns arboraient encore des motifs ancestraux peints sur leur peau en bleu indigo. Tenter de relever les fortifications, c'était peine perdue, les Pictes en viendraient à bout tout aussi bien.
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Où l'on voit la Bretagne accablée de tous les maux sous les coups des Pictes et des Saxons. Où les justes périssent de la main des traîtres et où s'étend partout la tyrannie. Où même les oppresseurs s'entredéchirent.

Comme un long cri de peur charrié par des vents mauvais, la nouvelle s'était répandue à travers l'île de Bretagne. Paysans et nobles découvraient dans une même terreur que, dans les terres du Nord, les pirates saxons avaient repris leurs attaques, avec le cortège habituel de fermes incendiées, de paysans massacrés. Un désespoir mêlé de fatalisme gagnait les habitants de l'île de Bretagne ; même jadis, quand ils étaient mieux armés et mieux entraînés, ils n'avaient jamais su opposer un front commun à leurs ennemis. Seules les légions romaines, en ces temps lointains que les bardes célébraient dans les veillées arrosées de bière et d'hydromel, avaient réussi à repousser les attaques conjuguées des Pictes d'Écosse, des Scots d'Irlande et des pirates de Germanie. Mais Rome se survivait à peine, toute gloire anéantie dans les ruines de ses palais. Malgré les appels pressants des Bretons, les soldats vêtus de cuir et de bronze n'étaient pas revenus défendre l'île.

Seuls subsistaient deux remparts entre la population de Bretagne et la servitude ou l'anéantissement promis par les envahisseurs. Une muraille de pierre d'abord, loin vers le Nord, ouvrage immense bâti d'une mer à l'autre. Le Mur. Il avait longtemps maintenu les assauts des Pictes. Mais, ses portes enfoncées, ses fortins abattus, les créneaux du chemin de ronde jetés à bas, la frontière de pierre cédait peu à peu devant des hordes de petits hommes à la peau mate, dont quelques-uns arboraient encore des motifs ancestraux peints sur leur peau en bleu indigo. Tenter de relever les fortifications, c'était peine perdue, les Pictes en viendraient à bout tout aussi bien.


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<link href="https://codepen.io/trucB/pen/LrNwox.css" rel="stylesheet"/><link href="https://fonts.googleapis.com/css?family=Cormorant|Cormorant+Unicase|Cormorant+Upright" rel="stylesheet"><center><div style="background-image:url('https://i.imgur.com/UYJxZah.png'); width:450px; height:500px; overflow:auto;"><center><div style="background-color:rgba(206,188,168,.6); width:250px; height: 460px; overflow:auto; padding:20px; font-family: 'Cormorant', serif; font-size:13px; text-align:justify; color: #000;"><center><tfrp>Titre</tfrp>
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Où l'on voit la Bretagne accablée de tous les maux sous les coups des Pictes et des Saxons. Où les justes périssent de la main des traîtres et où s'étend partout la tyrannie. Où même les oppresseurs s'entredéchirent.

<pfrp>Comme un long cri de peur charrié par des vents mauvais, la nouvelle s'était répandue à travers l'île de Bretagne.</pfrp> Paysans et nobles découvraient dans une même terreur que, dans les terres du Nord, les pirates saxons avaient repris leurs attaques, avec le cortège habituel de fermes incendiées, de paysans massacrés. Un désespoir mêlé de fatalisme gagnait les habitants de l'île de Bretagne ; même jadis, quand ils étaient mieux armés et mieux entraînés, ils n'avaient jamais su opposer un front commun à leurs ennemis. Seules les légions romaines, en ces temps lointains que les bardes célébraient dans les veillées arrosées de bière et d'hydromel, avaient réussi à repousser les attaques conjuguées des Pictes d'Écosse, des Scots d'Irlande et des pirates de Germanie. Mais Rome se survivait à peine, toute gloire anéantie dans les ruines de ses palais. Malgré les appels pressants des Bretons, les soldats vêtus de cuir et de bronze n'étaient pas revenus défendre l'île.

Seuls subsistaient deux remparts entre la population de Bretagne et la servitude ou l'anéantissement promis par les envahisseurs. Une muraille de pierre d'abord, loin vers le Nord, ouvrage immense bâti d'une mer à l'autre. Le Mur. Il avait longtemps maintenu les assauts des Pictes. Mais, ses portes enfoncées, ses fortins abattus, les créneaux du chemin de ronde jetés à bas, la frontière de pierre cédait peu à peu devant des hordes de petits hommes à la peau mate, dont quelques-uns arboraient encore des motifs ancestraux peints sur leur peau en bleu indigo. Tenter de relever les fortifications, c'était peine perdue, les Pictes en viendraient à bout tout aussi bien.
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